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sensiblement
25 mai 2008

envie de vous raconter ....

fin de semaine agitée : jeudi je reçois de la banque la copie d'un chèque (je m'étais aperçue qu'un chèque était disparu, débité et aucune trace de cette dépense). Je vois qui l'a encaissé. C'est un proche (employé). Il faut qu'il avoue : non pendant trois jours, il dit ce n'est pas lui. On le cuisine pourtant. Mais rien. Il joue son scénario. Samedi matin, il craque. Dépôt de plainte, etc. etc. On est crevé par cet épisode. Cà prend trop d'énergie. Il a refait 3 chèques pour rembourser. Que va t on faire maintenant ? On a besoin de lui mais comment retrouver la confiance ?  On n'a pas encore décidé.

Vendredi soir, j'étais à l'A.G. de l'asso (dont je suis membre : asso sur l'anxiété). J'y suis allée volontiers me sentant en famille avec ces personnes. J'ose prendre la parole. Je suis contente.

Samedi : anniversaire de ma grande fille, on a fêté ça en famille autour d'un gros gateau en fin d'après midi puisque le soir mademoiselle préférait rejoindre son ami qui l'emmenait au resto.    En début d'après midi, j'étais à autre A.G. celle de la maison de retraite de ma maman. Disons que j'ai fait acte de présence. Les chiffres, les chiffres, bouh j'ai pas bien compris. Et j'avais la tête ailleurs. J'ai revu quelques personnes qui cotoient ma maman. Je parle facilement là bas. Y a des fois comme ça où je me sens portée.    Samedi soir, on n'est que tous les deux.   Ouf ça fait du bien ! les nerfs tombent.

Aujourd'hui : RIEN de prévu.   Je suis là en robe de chambre à vous écrire. Ah c'est la fête des mères, bonne fête les mamans !

 

 

 

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21 mai 2008

je voyage sur vos blogs...

Et je découvre de très belles pages d'écriture. Cà me complexe, je ne sais pas écrire comme ça. Avec autant de poésie, autant d'humour, pff c'est dingue. Tant pis, je continuerai donc mon blog comme je le peux. Ce que je découvre, ce sont de belles âmes comme j'aime. C'est drôle, des gens comme ça, on dirait qu'en vrai ça n'existe pas. En tout cas, j'en connais peu. Peut être que ces gens là se cachent ?

Bref, je vois que nous sommes quelques un(e)s à souffrir de nos vies passées, peut être souvent à cause d'un père qui a mal joué son rôle. En vous lisant, j'ai l'impression de m'entendre raconter presque les mêmes choses. C'est très touchant pour moi. Et puis les parents âgés, les mêmes réflexions à ce sujet. La disparition des parents et tout ce que ça représente...

Lorsque mon père est tombé malade, il est resté quelque temps à l'hopital. Puis il est allé en maison de convalescence plus longtemps que prévu car, pour qu'il revienne chez lui, il était impératif de faire des travaux à la maison : en effet, il n'y avait encore pas de toilettes ni salle d'eau en 1991. Je n'ai jamais connu ce luxe chez mes parents le temps que j'ai vécu chez eux, jusqu'à mes 20 ans. Ce n'était pas rien de le convaincre pour cela. Il avait beaucoup perdu au niveau motricité et ma mère n'aurait jamais pu s'occuper de lui sans un minimum de confort. Alors je suis allée le visiter très souvent, c'était à environ 20 km de chez moi. Je me disais qu'il fallait le soutenir pour qu'il tienne ce temps et je l'ai fait de bon coeur. Souvent je lui apportais un pain au chocolat. D'ailleurs, quand je n'en apportais pas, il me le réclamait. Puis il est rentré chez lui. C'est le moment de sa vie où il est devenu très gentil. Il n'y avait quasiment plus d'agressivité. Il était ramolli. Cà a duré quelque mois. Un matin, il a fait un AVC et a fait trois semaines de coma, puis est parti sur l'autre rive. J'ai eu un immense chagrin. Finalement, j'aimais beaucoup mon père.

 

 

9 mai 2008

je les ai aimés comme j'ai pu .....

Aujourd'hui on en fait vraiment beaucoup pour les enfants. Les miens sont grands maintenant (presque 30 ans, 23, et 17). J'ai pas du faire tout ce qui fallait quand il fallait. Je n'avais pas le mode d'emploi, pas eu de modèle valable non plus. Alors ça n'a pas été facile. Je me suis souvent beaucoup énervée. J'ai pas pris beaucoup le temps de jouer, ou de les ballader. Je me sentais toujours dépassée. Le temps de l'école primaire, je suivais leur travail scolaire et j'étais intransigeante. D'ailleurs, je crois que j'étais intransigeante pour tout. Et ça n'arrangeait rien. J'étais aussi souvent malade (migraines à répétition) et là, Mamie prenait le relais  (ma belle mère), je n'avais qu'à passer un coup de fil.  Ou bien je désignais mon aîné pour s'occuper des autres (il me l'a reproché il n'y a pas longtemps). Puis il y a eu le temps de l'adolescence, pas facile non plus. Beaucoup de peurs bleues : accidents de cyclo, puis accidents de voiture. Oui oui, on a eu droit à pas mal de choses pas intéressantes du tout. On a eu aussi à gérer une relation amoureuse pas du tout, mais pas du tout convenable.  Ah la la   j'en passe et des meilleures.   En tout cas, nous avons fait comme nous avons pu. Avec le recul, je sais que j'aurais du être plus tendre, plus ceci, plus cela, mais c'est fait et maintenant que deux sont adultes, je réalise comment la vie passe vite et comme il faut profiter d'eux quand ils sont petits. Je n'en étais pas du tout consciente. Maintenant, ils font leur vie et ont beaucoup moins besoin de nous. Bien sur, s'il y a une merde, c'est nous qui sommes appelés les premiers. Pour le reste, ils me manquent. J'ai fait parfois des petites remarques mais ils m'ont dit que je devais les lâcher. Que c'était normal, que c'était la vie.

8 mai 2008

un 8 mai bien ordinaire

Il fait gris, encore. J'avais ce matin plein d'idées de posts à mettre ici. Et puis tout s'est envolé. Je voudrais parler de tant de choses à la fois...

Je viens d'écouter une émission radio sur la psychogénéalogie. Cà me tenterait bien d'essayer. Peut être cela viendrait dénouer ce mal être. Je crois assez qu'on se trimballe l'histoire familiale.... J'ai un n° de tél., je l'ai déjà appelé et chaque fois suis tombée sur le répondeur. Ce n'était sans doute pas le bon moment pour moi.

Ce matin, j'ai bien glandouillé, un peu d'ordi, un peu de linge, un peu de cuisine   et visite de mon jardin et de mes poules.  Mon mari travaille. Je vais aller voir ma maman à la maison de retraite et si le temps le permet, quand je serai revenue, je tonds la pelouse.

Merci d'être venu me lire.

 

2 mai 2008

ce texte est magnifique,

J'aimerais pouvoir l'appliquer tous les jours de ma vie. Aujourd'hui, je vous l'offre. Il n'est pas de moi, je l'ai trouvé sur un site qui s'appelle quelque chose comme "bonheur pour tous".

Le bonheur est le chemin

On se persuade souvent soi-même que la vie sera meilleure après s'être marié, après avoir eu un enfant et, ensuite, après en avoir eu un autre. Plus tard, on se sent frustré, parce que nos enfants ne sont pas encore assez grands et on pense que l'on sera mieux quand ils le seront. On est alors convaincu que l'on sera plus heureux quand ils auront passé cette étape.

On se dit que notre vie sera complète quand les choses iront mieux pour notre conjoint, quand on possèdera une plus belle voiture ou une plus grande maison, quand on pourra aller en vacances, quand on sera à la retraite.

La vérité est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux, que le moment présent. Si ce n'est pas maintenant, quand serait-ce ? La vie sera toujours pleine de défis à atteindre et de projets à terminer. Il est préférable de l'admettre et de décider d'être heureux maintenant qu'il est encore temps.

"Pendant longtemps, j'ai pensé que ma vie allait enfin commencer. la vraie vie ! Mais il y avait toujours un obstacle sur le chemin, un problème qu'il fallait résoudre en premier, un thème non terminé, un temps à passer, une dette à payer. Et alors, là, la vie allait commencer ! Jusqu'à ce que je me rende compte que ces obstacles étaient justement ma vie".

Cette perspective m'a aidé à comprendre qu'il n'y a pas un chemin qui mène au bonheur. Le bonheur est le chemin. Ainsi, passe chaque moment que nous avons et, plus encore, quand on partage ce moment avec quelqu'un de spécial, suffisamment spécial pour partager notre temps, et que l'on se rappelle que le temps n'attend pas. Alors, il faut arrêter d'attendre de terminer ses études, d'augmenter son salaire, de se marier, d'avoir des enfants, que ses enfants partent de la maison ou, simplement, le vendredi soir, le dimanche matin, le printemps, l'été, l'automne ou l'hiver, pour décider qu'il n'y a pas de meilleur moment que maintenant pour être heureux.

LE BONHEUR EST UNE TRAJECTOIRE ET NON PAS UNE DESTINATION.

Il n'en faut pas beaucoup pour être heureux. Il suffit juste d'apprécier chaque petit moment et de le sacrer comme l'un des meilleurs moments de sa vie :

  • Tomber amoureux,

  • Rire jusqu'à en avoir mal au ventre, ou des crampes aux mâchoires,

  • Trouver un tas de nouveaux mails sur sa boîte quand on revient de vacances,

  • Conduire vers des paysages magnifiques en terre inconnue,

  • Se coucher dans son lit en écoutant la pluie tomber dehors,

  • Sortir de la douche et s'essuyer avec une serviette toute chaude,

  • Réussir son dernier examen,

  • Avoir une conversation intéressante,

  • Retrouver de l'argent dans un pantalon que l'on n'a pas porté depuis des lustres,

  • Rire de soi-même,

  • Rire sans raison particulière,

  • Entendre accidentellement quelqu'un dire quelque chose de bien sur soi,

  • Se réveiller en pleine nuit en se rendant compte que l'on peut encore dormir quelques heures,

  • Écouter une chanson qui nous rappelle un moment chéri,

  • Se faire de nouveaux amis,

  • Voir contents les gens que l'on aime,

  • Rendre visite à un vieil ami et se rendre compte que les choses n'ont pas changé entre vous,

  • Admirer un coucher de soleil,

  • Se faire tranquillement masser le dos et s'endormir paisiblement,

  • Sentir un vent doux et frais nous caresser la joue,

  • Entendre dire que l'on nous aime et vivre paisiblement tous les petits moments qui nous réchauffent le coeur et l'âme.

Les vrais amis viennent dans les bons moments quand on les appelle et dans les mauvais moments, ils viennent d'eux-mêmes.

Après ça, une bonne réflexion s'impose.

Anonyme

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22 avril 2008

je reviens

J'avais un autre blog que j'avais mis dans inclassable et j'étais partie sur la déco, le jardin mais le pire c'est que je déguisais mon besoin de communiquer sur moi même et mes relations aux autres. Sans doute, je reparlerai jardin et déco si le coeur m'en dit, mais avant toute chose, je voudrais parler de moi et de vous aussi si cela vous interpelle. La relation aux autres ......     la comparaison avec les autres ........     Je cherche le mode d'emploi.  Pourtant j'ai bientôt 50 ans et c'est pas le top.    Trop entière, trop timide, trop audacieuse, trop grande gueule, trop fragile, trop demandeuse, trop   trop    trop    ............

Quand vais je trouver la paix ???????

Ce que j'espère de ce blog :    des rencontres (non non pas amoureuses)    de vraies rencontres amicales si possible       des échanges         des conseils        des débats         des encouragements      du soutien      de l'humour     de la dérision      etc etc etc

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