Je traîne ce soir
Alors que mes deux hommes sont dans les champs très tard pour commencer l'arrachage des haricots, je ne suis pas couchée ce soir, je traîne.
Je me suis occupée aujourd'hui des prochaines inscriptions à l'asso, finalement, je me demande quand j'arrêterai, ils me laissent bien faire, je pense que tout le monde compte sur tout le monde, personne n'anticipe, je n'aime pas ça. Nous n'avions pas les fiches, il a fallu les réclamer, c'est bientôt les inscriptions...
Mon dernier week end fut agréable : deux sorties à la mer, samedi nous avons rejoint des amis sur la côte pour la journée : repas avec eux dans le camping le midi puis le soir à la pizzeria, l'après midi nous nous sommes promenés en vélo, mes cuisses ont souffert, il faisait très beau. Dimanche, nous sommes repartis fin de matinée pour voir deux autres amis en vacances quelques jours dans l'ile de Ré, ils ont réservé un petit restau sur le port pour le midi, puis nous faisons là encore du vélo, et mes cuisses acceptent encore cette vingtaine de kilomètres sur les pistes cyclables de cette île superbe, et le soir c'est encore restau..... Deux super journées.
J'ai trouvé un lit d'occasion pour mettre dans la maison de ma mère, sur le site d'annonces que tout le monde connaît. Après avoir raté deux achats, ce soir, c'est fait. Nous ôterons le lit vraiment dégueu que le dernier locataire n'a pas épargné, et nous mettrons celui là. Décidément, cette maison s'arrange.
Je m'interroge pour le prochain week end. Ce n'est pas bon pour moi. Je suis sollicitée et dans ce contexte, mon cerveau n'aime pas du tout. Je pense que je n'irai pas.
Passez du temps à comprendre ce qui se passe quand ça se présente comme ça : pourquoi je réagis ainsi ? Pas de réponse.