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sensiblement

28 mars 2012

fin du voyage

Il est temps de clore ce voyage au Maroc avec ces dernières photos, 2 nuits à Zagora et 1 à Ouarzazate

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23 mars 2012

un vilain jus d'orange

Tout commence par une réunion hier soir. J'ai accepté d'y aller parce que je suis encore dans l'enthousiasme du festival du week end, qu'il faut bien débriffer, que de plus nous sommes en comité restreint. Cà ne me pose pas de problème, j'apporte même une quiche, il est décidé de manger ensemble. Et puis, l'hôte propose à boire, il y a du coca, de la bière, ou du jus d'orange. Vas y pour le jus d'orange, aïe il en a versé beaucoup. Ma politesse me contraint à tout boire. Cette nuit, j'étais agitée comme une pile électrique, beaucoup de mal à dormir, la vitamine C m'a bien enquiquiné.

Et y a pas que la vitamine C qui m'a enquiquinée. Aucun remerciement pour la participation de ma fille qui s'est donnée à fond ! des propos pas sympas sur notre profession, il a la même que nous, mais divergences d'idée, ce serait trop long à expliquer. Je me les suis pris en pleine poire, de sa part involontaire certainement, mais moi ça m'a traversée.

J'aurais sans doute été mieux chez moi devant la télé. J'ai voulu être dans l'action, profiter de quand je me sens capable, finalement je doute, le monde est trop cruel pour moi. Oh il n'y a pas mort d'homme, certes, je suis consciente que tout cela n'est pas grave, mais je suis déçue, je ne m'y retrouve pas. Je ne comprends pas cette médiocrité. Et ça me brouille le tableau, et ça m'assombrit l'esprit. Va pourtant falloir essuyer ça !

22 mars 2012

PERLE

Atelier de lundi :

Papiers à choisir sans regarder où sont notées des perles retrouvées dans des courriers administratifs ou même genre.

J'en choisis une que je dois intégrer dans ma lettre soit la lettre envoyée soit la réponse.

"Vous m'envoyez des formulaires avec des lignes trop courtes pour écrire ce que je veux. Que diriez-vous si je payais ma cotisation d'assurance sur des chèques trop petits pour écrire la somme entière ?"

Allez, c'est parti.

Monsieur l'assureur,

Je vous ai téléphoné la semaine dernière pour vous parler de mon gamin qui a cassé la baie vitrée et vous m'avez répondu qu'il fallait faire une déclaration écrite. Pourtant, je vous ai bien tout raconté en détail :

Que c'était l'anniversaire de ma femme, qu'on était 25 dans la salle  manger, que même Tonton Gustave était venu, qu'on a bien pris l'apéritif, un et deux et trois, peut être plus, je me rappelle plus, et que le gamin a mis la musique et que Tante Margot s'est mise à danser le charleston, puis tout le monde a essayé, et puis le gamin s'est pris un coup de talon, il a poussé la chaise en arrière et boum dans le carreau. Le gamin n'a rien eu mais le carreau est en miettes.

Vous le saviez tout ça, je vous l'ai dit. Vous m'envoyez des formulaires avec des lignes trop courtes pour écrire ce que je veux. Que diriez vous si je payais ma cotisation d'assurance sur des chèques trop petits pour écrire la somme entière ? Il faut écrire les circonstances détaillées que c'est marqué. Et bien, c'est impossible. Alors envoyez moi d'autres dossier pour que je puisse tout raconter.

Quand même, si c'est pas malheureux de rogner sur les bouts de papier à envoyer aux clients. Et tardez pas parce que j'ai mis du carton pour fermer la baie mais dans 15 jours, c'est la fête au papy et si c'est pas réparé, il va s'enrhumer, il va avoir 89 ans, faut faire attention.

 

 

                                                                                                                                      Pierrot Martin

 

 

19 mars 2012

c'est reparti

C'est reparti je l'espère. Faut sortir de ces microbes. Encore les jambes molles et si peu d'énergie, il me faut de la patience.

Le week end a été un peu dur pour mon état. Normalement, je serais restée chez moi. Mais là, je ne pouvais pas, je suis allée samedi soir voir le festival : 3 compagnies dansaient dont une avec ma fille. Ce sont elle et ses 3 amies qui ont commencé. J'avais peur, peur qu'elles se plantent, peur que ça ne plaise pas. C'était la deuxième fois seulement qu'elle produisait leur choré. 18 minutes je crois. C'était super, et quand j'ai entendu les applaudissements j'étais sauvée. Nous avons fait environ 200 entrées (un peu plus même), comme quoi le stress de début de semaine pour rien. Je ne regrette pas les relances. On aurait pu faire plus mais pour une première c'est bien. J'y suis allée seulement le soir alors que certains membres de l'asso y ont passé la journée. J'avais posé mes limites, j'ai payé ma place pour être en paix avec moi même. La deuxième compagnie était d'un style très contemporain, sans doute très artistique, mais beaucoup moins facile pour le public surtout de non initiés. Puis il y a eu l'entracte, je n'ai même pas quitté la salle de spectacle. La troisième était vraiment extra : du hip hop mais pas n'importe quoi ! du hip hop comme je n'avais jamais vu, terrible vraiment extraordinaire. J'ai adoré cette soirée, seul bémol, j'avais de la fièvre. Nous avons rejoint le groupe pour rediscuter du moment, savourer notre joie, puis nous sommes rentrés, je n'arrivais pas à dormir.

Hier après midi, nous voilà repartis là bas. Les écoles de danse du secteur présentaient un à deux groupes : il y avait un filage le matin, et l'après midi, c'était public. Peu de parents se sont manifestés. Il y a même une école où les danseuses sont venues seules (c'était des grandes) et aucun supporter. A 16 h 30, c'était terminé. Nous avons donné un mini coup de main à nettoyer, ranger. Voilà c'est terminé.

Nous avons eu de bons échos pour la choré de fille par le public - apparemment par la deuxième compagnie, elles ont reçu des critiques comme quoi trop d'accessoires sur scène. Elles évoluaient entre un canapé et des fils à linge. Moi j'aime bien. C'était très jazz, comme on voit beaucoup moins maintenant..... C'est moins tendance. Cà a plu. Elles vont pouvoir maintenant présenter cette pièce dans d'autres endroits. Ah la passion !

Finalement des amis y sont venus avec nous samedi soir, et une nièce et ma belle soeur. Cà m'a fait chaud au coeur.

Bon maintenant je dois me reprendre, m'activer.

17 mars 2012

devinez ?

Devinez où je suis allée ce matin ? Chez le médecin bien sur. J'ai pas voulu me faire avoir à cause du week end donc j'ai appelé tôt et il m'a mis gentiment rendez vous à 12 h. Et me voilà revenue avec ma poche d'antibiotiques, cortisone et compagnie. Je devrais pas me plaindre, je vais enfin me soigner sérieusement. Quoique je me soignais sérieusement puisqu'une grippe ça se soigne tout simplement en faisant baisser la fièvre. Oui mais là, ça devient "laryngite". Au secours, sortez moi de l'hiver. J'en ai marre. Je sors quand même ce soir, avec le peu d'énergie que j'ai, je paie ma place et ne suis donc pas bénévole, voilà ce que j'ai gagné. Mais j'ai choisi. Au moins, je vais profiter du spectacle et ne pas stresser. Et puis je connais quelques personnes et j'aimerais pouvoir passer un petit peu de temps avec elles de ma toute petite voix de ce moment. Pourvu que tout se passe bien, je verrai si demain j'y retourne car ce sera un autre spectacle : plusieurs écoles présentent leurs élèves dont les élèves de ma fifille. J'ai un peu la tête comme une bouilloire, je vais m'allonger un peu.

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15 mars 2012

la balle aux prisonniers

Jeanne (yes, j'ai réussi un lien hypertexte, je suis trop forte) parle de sa docilité, aussi de ce qu'elle n'aimait pas enfant. Comme elle je n'aimais pas la balle aux prisonniers que nous nommions à l'époque "balle aux camps". Je ne sais pas pourquoi : j'ai jamais trop bien compris les règles. Comme j'étais souvent malade, peut être le jeu avait il été expliqué lorsque je n'étais pas là. Ou alors les autres enfants avaient tous des frères et soeurs et jouaient à ça chez eux. Pour moi c'était l'inconnu et rien que le mot "balle aux camps" me rendait malade. Donc je n'y jouais pas et faisais autre chose. J'ai du y jouer parfois en cours de sport par obligation mais très mal à l'aise. J'avais peur du ballon. Et j'étais très chétive, j'avais bien du mal avec ce ballon. Pas de force. Et puis cette rage que ça dégageait, fallait faire des prisonniers. Et quand on était prisonnier, fallait se délivrer, je n'y arrivais pas. Lors d'un pique nique familial, ils y ont rejoué - sans moi - cela reste un traumatisme, je n'ai rien dit, seulement pas envie de jouer. D'ailleurs, je ne suis pas très joueuse. Par contre, je ne suis pas une mauvais perdante, je m'en fous totalement. Finalement, c'est que je n'aime pas la compétition, gagner ou perdre, ça ne m'intéresse pas. Je préfère : le ciel bleu, les fleurs qui s'épanouissent, la musique, les petits oiseaux.............

14 mars 2012

pff.....

Je ne fais pas grand chose, je me traine. Cà va passer. Soyons patients.

L'autre soir, j'ai réussi à regarder sur canal "Qui a envie d'être aimé" j'ai adoré ce film, il m'a tiré quelques larmes d'émotion.

Vous l'avez vu ?

13 mars 2012

encore des photos

 

Malgré la grippe, j'arrive quand même à faire ça.

Je continue le voyage au Maroc avec ces photos de notre étape au désert (1 nuit) :

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13 mars 2012

encore malade

Hier soir, je suis allée de justesse à l'atelier d'écriture. Une participante m'appelait juste avant pour dire qu'elle était malade. Alors je me force à y aller, j'étais déjà pas très bien, mais je pense à l'animatrice qui va se dépiter s'il n'y a personne. Je me dis que de toute façon, ça changera pas grand chose désormais à mon état. J'y vais, j'arrive à écrire, nous étions 4 + l'animatrice. D'ailleurs elle même nous raconte que la veille était complètement malade et que c'est passé, une autre se traîne. Et bé. Je reviens à la maison, j'ai vraiment une barre dans les reins, je pense que ça va passer vite en m'endormant. Et bien non. Je tourne et vire jusqu'à me lever prendre un FR ALGAN pour stopper ces douleurs, je dois avoir une sacrée fièvre. Je dors sur le matin. Puis lever pas terrible. Un autre FR ALGAN et je me recouche. Envie de rien. La gorge en feu, des courbatures. C'est fouttu, je crois que j'ai la grippe. Alors tant pis, pour l'instant, je reste au chaud, je ne suis pas productive, j'attends que ça passe. C'est pas terrible comme moment.

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L'impolitesse des gens : les parents ne soutiennent même pas leurs enfants pour le festival de danse. Très peu de réservations sachant que leur enfant est élève de l'école de danse. Pas de réaction. Je viens de refaire un mail pour leur faire prendre conscience, je l'ai d'abord envoyé aux collègues et j'attends les réactions ce soir. Ensuite j'envoie à tous les parents. J'espère que ça portera ces fruits. Bon j'avoue que quand ma fille était petite, s'il y avait eu ce genre de manifestation (pas obligatoire finalement), est ce que j'y serais allée ? mais ils sont pas tous phobiques quand même, à en douter ?

J'ai aussi envoyé des mails pour proposer cette manifestation à mes amis, la plupart ne m'ont même pas répondu. C'est indécent. J'ai du mal à comprendre l'humain.

11 mars 2012

de tout, de rien, de rien du tout !

Ma mère est revenue à la maison de retraite. Pas la grande forme. Dernière visite : elle était couchée à 16 h, de son bon gré. Le traitement doit être fort, elle a quelques bleus, pas vu avant. Je sens que ça diminue. On verra la suite. Ma soeur, qui maintenant ne travaille plus, semble soucieuse aussi et assez présente, ça me rassure. J'irai le plus souvent possible désormais. Je pense 2 fois par semaine au lieu d'une.

Hier soir, sortie restaurant avec nos collègues producteurs comme nous de certains produits. Depuis le temps que ça devait se faire, voilà c'est fait, comme pour fêter ce nouveau groupement pour lequel je travaille (commerce, compta). Le restaurateur a bien joué : il a utilisé nos produits et innové, nous avons eu la surprise du menu tout à fait original, comme j'aime. Et délicieux. Légumes secs totalement revisités de l'entrée au dessert, scotchant !!!!

Aujourd'hui : RIEN pour moi et boulot pour lui. Quand je dis rien, c'est rien de prévu. Lever : 10 h pour tous les 2. Fatigués, on a dormi comme des loirs. Là, il est dans les champs, quand faut y aller, faut y aller. Et ça ne me dérange même plus. J'aime cette liberté d'un dimanche sans programme. Avant, j'en faisais tout un monde, car ne rien avoir signifiait : euh j'ai pas d'amis, j'ai invité personne et personne ne m'a invité. Ben tant pis, figurez vous, c'est un moment de paix intérieure incroyable. Je savoure. Je fais du ménage, je viens ici vous écrire, je retourne faire du ménage, et je vais marcher un peu, JE FAIS CE QUE JE VEUX.

Le week end prochain, ici est organisé un festival. Ma fille y participe dans une nouvelle compagnie. Nous faisons de la pub. Je me suis peu engagée dans l'organisation, ayant bien fait comprendre, comme vous le savez, à mes collègues que ça nuisait à ma santé. J'y travaille un peu dans l'ombre, quelques démarches administratives. Pourvu que le public soit là ! j'ai peur, les réservations sont pas terribles pour l'instant. Je serai spectatrice et non pas travailleuse, c'est ainsi, je choisis. C'est le samedi et le dimanche. Cà faisait longtemps que la prof d'ici désirait cela, et moi je n'entendais rien à cela. Maintenant d'autres personnes ont pris le relais et assument. C'est bien.

Et vous que faites vous ce dimanche ?

Tiens moi je vais prendre un petit café, là, tout de suite.

 

 

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