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sensiblement
24 janvier 2018

tout en un

Je rêve de faire un joli post sur un seul sujet comme le fait si bien mon amie Celestine. Elle parle de la pluie comme personne dans ces derniers écrits. Quelle plume !

J'ai aussi envie de vous parler un peu de la pluie. Bien entendu qu'il faut se réjouir qu'elle tombe, bien entendu sans faire de dégât, ni trop d'innondation car là c'est une autre histoire. Bien entendu qu'elle n'est pas toujours responsable de notre mauvaise humeur, ce serait trop facile. La pluie peut être délicieuse sous un grand parapluie. Dans notre métier, nous la réclamons parfois à grands cris car elle est bien souvent le sauveur. A quoi cela sert il de se plaindre sans arrêt du ciel ? Nos parents n'avaient pas le temps de se plaindre je pense, ou alors ils étaient habitués à ne rien contrôler. Je n'ai pas de souvenir qu'ils se soient plaint d'un dimanche pluvieux qui les ait empêché de sortir. J'ai peut être entendu une légère plainte lorsque qu'un orage éclata sur des foins juste coupés. Peut être.

Moi même j'ai fait du vélo sous la pluie. J'avais un ciré que j'enlevais une fois arrivée à destination, pour prendre le car et partir au collège, ou au lycée.    

Dimanche dernier, il pleuviotait. Nous avons décidé de partir voir la mer. Les essuie glace ont fonctionné tout au long de la route. A peine arrivés, il ne pleuvait plus et nous avons marché le long de la mer, regardant les vagues et le ciel gris qui tentait quelques lumières. C'était beau. Beaucoup de gens marchaient aussi. Quelques chiens trainaient leurs maîtres. Le vent m'ébouriffait. Soudain, de nouvelles gouttes rafraichissaient nos visages. Le parapluie n'a même pas servi. Nous étions juste bien.

Tiens, je me suis trompée de titre de post.

J'étais partie avec plusieurs idées en tête et je pensais faire un pêle mêle.

Il n'est bien question que de pluie. Je ne voulais pas me mouiller pourtant.

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18 janvier 2018

Défi

Je n'ai pris aucune résolution pour 2018. Il m'était arrivé en d'autres débuts d'année d'en prendre, hélas je me suis vite aperçue qu'on faisait ce qu'on pouvait et que les bonnes résolutions s'endormaient rapidement.

Par contre, fin 2017, j'avais pris la résolution de m'inscrire à ce fameux week end chantant. Ma voisine souhaitant y participer, d'autres personnes de la chorale également, certains y sont fidèles, je n'ai guère hésité à remplir la fiche d'inscription. Puis il y a eu les fêtes, etc.

Le week end dernier était donc celui là.

Oh combien j'ai réfléchi à préparer mes sacs, moi pas habituée à partir sans lui. Un grand sac pour le couchage et le lendemain matin. Un plus petit qui me suivrait avec les documents, la bouteille d'eau, le téléphone, le gilet supplémentaire, des mouchoirs, etc.

Nous sommes partis avec un autre couple dans cette ville et nous avons rejoint un grand groupe de gens comme nous, certains ne faisant même pas partie d'une chorale. L'après midi fut intense : le chef nous avait concocté huit chansons. Quelques pauses bien méritées. Un pique nique pour le soir. Nous étions hébergées chez l'habitant. Pas l'habitude. Moi qui reçoit les pèlerins, j'ai pu me rendre compte de ce que donnait l'arrivée chez des inconnus, qui ne sont pas des pros, mais qui veulent rendre service. Ces gens étaient vraiment charmants. Bien sur, très mal dormi, encore toute pleine de notes, trop pour la nuit, et puis trop chaud, et puis dormir avec une autre personne, pas si évident.

Le lendemain, nous sommes repartis dans la grande salle après un petit déjeuner fort sympathique. Révision de tous les chants. Puis repas de midi organisé par le stage. L'après midi arrive avec son lot de stress. D'abord un enregistrement. Puis le concert. Je ne vous cacherai pas que j'ai eu un grand moment de flottement à ce moment là. Et j'aurais bien pu m'échapper..... mais j'ai résisté. C'est là que mon grand sac était resté dans la voiture, que dans mon petit sac, il n'y avait pas  le déodorant tant espéré, ni le maquillage pour rassurer. Il n'y avait rien. Tandis qu'autour de moi elles se pomponnaient. J'ai chopé un rouge à lèvres. J'ai eu peur, si peur de me sentir mal, de tomber. Pendant les chansons ça allait, mais les intermèdes étaient difficiles, très très difficiles.

Mais je l'ai fait..... et depuis toutes ces notes sont encore dans ma tête.

2 janvier 2018

BONNE ANNEE MES AMIS !

J'ai fait un petit tour de blogs sans laisser encore de commentaire ! ce n'est pas bien. Depuis que j'ai un téléphone moderne, j'ai tendance à vous lire dessus et je ne trouve pas évident d'écrire des commentaires sur le petit écran. Par contre j'écris beaucoup de sms et c'est sympa. Toujours sous la main. Plus pratique car mon ordi est au sous sol.

Je vous souhaite une belle année 2018, avec la réalisation de vos souhaits et une bonne santé surtout. De l'amitié, de l'amour, des partages, de la tolérance, de l'ouverture d'esprit.    Je ne m'inquiète pas pour vous.    Vous êtes déjà dans la bonne direction .....

Voilà que le temps des fêtes est passé. Il faut remettre le pied à l'étrier dans notre quotidien. Pas si facile. Cette semaine sera encore un peu au ralenti. Le salarié est en vacances. Les activités non reprises encore, sauf le yoga qui reprend demain.

Nous avons réveillonné au réveillon solidaire dans la ville d'à côté. 4 ans qu'il existe. Je voulais tenter l'expérience. Ce fut difficile de décider quelques convives. Ce réveillon est presque sans alcool, juste un apéro et une coupette à la fin. Moi, ça ne m'a pas gênée. Nous étions 850 y compris les bénévoles qui servent. A l'initiative d'un homme, en lien avec Emmaüs, il y a deux tarifs : celui pour n'importe qui, et celui pour les gens en difficulté. Le menu est sobre mais très bon. L'animation un peu difficile à apercevoir, quelques danseurs et danseuses tahitiens hélas au même niveau que nous, donc nous étions trop loin pour les voir. Un dj pour danser. Malgré tout cela, l'un de nous n'a pas aimé. Il venait déjà à contre coeur. Il est parti avant nous. Tant pis pour lui. Il y avait des gens de toute condition, des chefs d'entreprises aux plus démunis. Cà se voyait à peine. Et j'ai trouvé que c'était la vraie vie. J'ai été contrariée par cet ami qui a l'esprit obtu.

Hier, nous étions tous les deux. Nous avons choisi un film. Puis visité mon beau père pour les voeux.

 

 

 

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