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sensiblement
23 mars 2011

la cour

Ainsi la vie serait toujours une grande cour d'école ................ et "toi tu joues, toi tu joues, toi aussi tu joues, euh ben toi aussi, vous aussi ",     " euh TOI ? NON TOI TU JOUES PAS "     !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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22 mars 2011

en lisant un autre blog

celui de Parisette, je me suis retrouvée, une fois de plus, et c'est douloureux mais rassurant à la fois de penser que d'autres osent exprimer cela. Elle parle de sa peur en cours de sport de ne pas être choisie quand le professeur demande à ce qu'on se mette par deux. Je l'ai cette peur aussi.

 Il n'y a pas si longtemps que je fais de la gym. J'ai osé. Mais parfois je vis des petits moments de panique du même genre que Parisette. "mettez vous par deux" qu'elle dit. Ben, moi, je préfère être toute seule, que j'aimerais bien lui répondre. Alors vite, les copines ou les voisines se mettent ensemble et pendant quelques secondes, je vis une petite mort. Pas à chaque fois, non, n'exagérons pas. Mais il se trouve que nous avons quasiment toujours les mêmes places à quelques exceptions près. La fille d'à côté de moi choisit plutôt sa voisine de gauche. Et à ma droite, c'est un autre groupe. Dans la salle, à cause d'une porte, c'est plutôt deux groupes face aux miroirs. Du coup la dernière fois que ça s'est produit, les deux compères se rapprochant déjà très vite, la prof interpelle ma voisine, lui demandant de se mettre avec moi car l'autre personne ne devait pas faire cet exercice. J'étais sauvée. Mais je me disais qu'elle ne m'avait pas choisie. Je lui étais imposée. L'exercice s'est passé. Je me souviens de douloureux cours de gym quand j'étais au collège, je n'étais pas à l'aise, j'étais très timide, je redoutais tous les exercices, surtout la gym au sol, et les agrès, là c'était l'enfer. Certaines brillaient vraiment là, si à l'aise, tout le monde autour d'elles. Moi j'étais très en retrait avec sans doute un peu celles comme moi. C'est curieux quand même de vivre ça.

Hier soir, à l'atelier d'écriture, il fallait aussi se mettre par deux pour une consigne, mais pas d'histoire, on se mettait avec son voisin ou sa voisine. Le nombre tombait pile. Je n'ai pas eu peur. A part que ma voisine, elle est bien plus douée que moi. Mais ça on a dit qu'il ne fallait pas le dire. Oui, oui, je veux bien. Mais moi je sais bien que c'est vrai.

La confiance en soi commence très tôt. Quand c'est bancale au départ, c'est dur de rattrapper. Et finalement, c'est au quotidien que cela nous revient en pleine figure. Alors il faut travailler, travailler à réparer, mais des fois on est quand même bien fatigué de réparer le passé.

21 mars 2011

un week end de plus

J'ai pris presque une habitude de raconter mes week end. Normalement, un blog, ce n'est pas fait pour ça. D'ailleurs, pour quoi c'est fait un blog ? Certains disent qu'il faut qu'il ait une certaine teneur, qu'on le nourrisse bien pour ses lecteurs afin qu'ils ne se lassent pas, qu'ils s'y enrichissent, se divertissent, reviennent surtout. Et bien, non le mien n'est pas comme ça. Je ne vais pas m'inventer une vie fantastique pour qu'il soit extraordinaire, ou bien je ne vais pas m'inventer des connaissances que je n'ai pas. Non, il est brut de fonderie. Il est un peu voire même beaucoup ma vie. Et il n'est donc pas passionnant. Et pourquoi faudrait il qu'il soit passionnant ? Tout n'est pas passionnant. Il est moi. Et comme il est moi, il est peu suivi, il me ressemble, il n'attire pas les foules. Et bien, ce n'est pas grave. Je sais que quelqu'unes me suivent et ça me fait bien plaisir. Elles me connaissent mieux ainsi, ça change pas grand chose, mais il y a des choses qui s'écrivent plus facilement qu'elles ne se disent. Bon, après la philosophie sur le blog, revenons au week end :

- vendredi nous avions un rendez vous pro l'après midi pour un projet, et après nous avons fait ensemble quelques cours dans notre magasin bio préféré, c'est rare de faire les courses ensemble. Puis on est allé chercher notre décodeur canal+. Oui j'ai fini par prendre canal. Pour les bons films qui me passaient sous le nez.

- samedi, sortie l'après midi chez notre acheteur de blé : un moulin qui vit également beaucoup du tourisme. Je n'avais plus de farine. Ces gens là sont charmants, il y a les grands parents, le couple de parents et les 3 jeunes enfants. Tout ce monde vit ensemble dans la journée, sauf le soir où les grands parents rejoignent leur chambre dans leur maison où ils ne vivent que la nuit. Le meunier était à la base professeur d'histoire et il en connait un rayon. Dans la blague aussi. Qu'est ce qu'on a ri. Le grand père et le gendre s'entendent bien pour la rigolade. Ceux qui vont en visite là bas ne reviennent surement jamais déçus. Il n'a pas voulu que je paie mes 10 kg de farine, et en plus on est revenu avec plein de gateaux.

- dimanche : invitation. Cette femme est de mon âge, on était à l'école ensemble. Originaires de la même commune, elle et moi et son mari aussi. On s'était revu à notre banquet de 50 ans (et à ceux d'avant aussi). Mais à celui là, on avait vraiment bien discuté et on s'était promis de se voir. Je les ai d'abord invités. Et hier, c'était le retour. Il a eu à un moment de sa vie des problèmes d'alcool, il s'en est bien sorti. Mais ses copains ont pris de la distance. Et elle m'en avait parlé. Les relations. Compliqués. C'est quoi les amis ? On a passé un bon moment autour du déjeuner et ballade dans la jolie nature tout près de la ville où ils sont. On se reverra. Elle a pris conscience que leurs amis n'étaient que des amis de bringue comme on dit chez nous. Et puisque maintenant il ne boit plus, tout est changé. Parfois c'est vrai que c'est seulement l'alcool qui lie les gens. Nous avons vécu un peu ça puisque je n'aime pas les abus d'alcool et mon homme ne peut pas non plus (et bien heureusement) boire comme ça à cause de sa santé. Et puis faut voir ces ambiances de boisson, ça ne vole pas haut, mais ça relie la plupart des gens de nos campagnes. Quand on ne fonctionne pas comme ça, on est souvent bien à part.

Ben voilà, ce week est passé. Revoilà une semaine nouvelle avec plein de choses à faire.

Je vous avais prévenus, ce post n'a rien de passionnant. Qui va s'y retrouver et qui va oser commenter une si petite vie ? Je me demande.

19 mars 2011

Chacun ses problèmes

C'est de lui dont je vais parler. Il est asthmatique depuis toujours. Nombreuses crises, vie d'enfant compliquée, pas de sport, il a pensé souvent que sa vie serait courte, et malgré cela, il a foncé, beaucoup travaillé. Durant longtemps, il a utilisé les médicaments classiques (dans la poche, une petite bouffée, hop et ça repart). Depuis quelque temps, d'autres symptômes sont arrivés : un écoulement presque constant dans la gorge provoquant une toux importante, très forte. Les examens n'ont rien donné. Vous n'avez rien, Monsieur. Alors, il a essayé l'acupuncture, l'ostéopathie, etc. etc. Rien. Puis une rencontre : un régime adapté sur une analyse de sang. Le procédé est allemand. On a reçu la liste des ingrédients à surtout ne pas consommer, et ceux à consommer. Hélas, malgré la grande liste, certains n'ont pas été testés. Alors depuis décembre, il mange selon la liste. Ce n'est pas facile. C'est moi que ça trouble. Il mange souvent pareil. Et on s'accroche à ce sujet. Puis je ne vois pas beaucoup d'amélioration. Toujours la toux. Lui sent du mieux au niveau de l'asthme, il prend moins de v....line. Quand nous mangeons ailleurs, c'est compliqué. Nos amis proches sont au courant donc essaient d'y faire attention. Sinon, une fois, en repas professionnel, il n'a mangé que du pain avec un peu de vin. Il n'y avait rien qui lui convenait. Ce n'était que charcuterie, etc. Il ne peut manger que de la volaille et du poisson, pas de boeuf, de veau, de porc. Il y a des moments où je suis découragée. Cette nuit, il s'est levé plusieurs fois parce que allongé, c'est pire et il a toussé, toussé. Les médecins classiques sont impuissants. Mais c'est quoi cette médecine ? Malgré cela, il est toujours plein de projets à quelques années de la retraite. Mais parfois, ça me fait peur.

15 mars 2011

Quand j'avais la migraine !

Je ne me souviens pas à quel âge j'ai eu la migraine la première fois. Ce que je sais, c'est que j'ai vu ma mère handicapée par cela presque toute sa vie, enfin notre partie de vie en commun. Elle était d'une blancheur, se couchait dans le noir, réclamait quelque chose près d'elle pour vomir, demandait des compresses. C'était devenu banal chez nous. Maman était au lit mais comme mes parents ne sortaient guère, ça ne changeait pas grand chose à leur vie sociale. On disait qu'elle avait une petite santé ainsi je pense qu'on la voyait comme très inférieure à bien d'autres femmes. J'ai commencé je pense à avoir mal à la tête dès que j'ai fait des sorties genre samedi soir à rentrer un peu tard et au réveil, la tête n'était vraiment pas bien. Je me réveillais tard pour récupérer le sommeil et après c'était l'horreur. Puis je crois qu'après mon premier enfant, ce fut pire. Comme j'avais eu de l'hypertension, j'ai eu longtemps de violents maux de tête. Ma tension a mis du temps à redevenir normale. J'avais un traitement qu'on m'avait annoncé pour toute la vie. Un jour, je l'ai arrêté, je ne sais plus comment, mais je l'ai arrêté.

La migraine a tout caché : le mal être, la phobie sociale, tout. Elle arrivait, sournoise, dès le petit matin ou plus tard, un jour normal ou bien un jour important. Combien de cérémonies j'ai loupées, je ne sais pas. Des réunions. Je n'ai pas tenu de comptes. Les gens savaient que j'avais toujours mal à la tête, j'ai été surprise que certains dernièrement m'en reparlent encore. Une fois j'étais partie accompagner un voyage d'école, et j'avais tellement stressé que j'ai eu la migraine et là bas, je n'ai rien pu faire du tout. C'est un véritable handicap, non reconnu hélas. Je me suis même vomi dessus une fois en rentrant du travail, je rentrais plus tôt parce que je pouvais plus tenir, je pensais arriver à la maison, mais non. Combien de jours dans ma chambre, dans le noir, combien de trajets en voiture si difficiles !

Certains trouvaient ça ahurissant des migraines à tout va, et du coup plaignaient mon mari. Et moi donc ? Je sais, ce n'est pas marrant pour l'entourage. Je sais bien pour l'avoir vécu avec ma mère. Finalement, le pire fut pendant la scolarité de mes enfants. Ils en sont surement beaucoup souffert. Heureusement, aucun d'eux n'en a hérité. Avant ma mère, il y avait eu mon grand père maternel. Bien entendu, à la période de mes enfants petits, j'avais assez d'assurer le quotidien comme je pouvais, et à ce moment là, je n'avais aucune force pour créer des liens, recevoir. Je luttais contre mon problème. J'étais déjà surement atteinte de phobie sociale, mais tout se mélangeait et tout faisait que je me mettais en marge. Je culpabilisais d'être aussi différente, aussi faible, tout à l'image de ma mère. J'aurais donc la même vie qu'elle. Non, pas vraiment, mais quand même.

Le médecin m'avait prévenue : ah ma pauv'dam', ça passera surement à la ménopause. Cà me faisait drolement plaisir d'apprendre que j'irai mieux quand je serai vieille. Je ne suis pas encore ménopausée, mais j'ai beaucoup moins de migraine, vraiment moins, et surtout moins forte.

 

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12 mars 2011

allez je vous offre des fleurs

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12 mars 2011

déjà !

Il y a 31 ans, je devenais maman pour la première fois. J'avais à peine 21 ans, j'étais naïve, je ne connaissais rien à la vie, je sortais d'un monde fermé. Je m'étais mariée enceinte et ça n'avait pas plu à ma belle mère. On lui avait dit une fois le mariage passé. La naissance a eu lieu un mois avant terme, de quoi encore plus faire jaser l'entourage, j'avais de l'hypertension et de l'albumine. Après quelques jours à l'hopital prescrits par mon médecin, les contractions arrivent. Au début, on ne perçoit pas que ce sont des contractions. Et à force de me plaindre, mon gyneco arrive et c'est donc le moment d'accoucher. 17 heures de travail sans péridurale à l'époque, 17 heures dans les vapes, et un beau bébé costaud, pas besoin de couveuse, c'est un souvenir très douloureux et très beau à la fois........ Le médecin s'attendait au pire pour nous deux. Il avait prévenu mon mari qu'il n'était pas sur de nous sauver, lui et moi. Nous sommes bien là.

7 mars 2011

contente !

Contente de mon week end !

Retrouvailles samedi, c'était promis, j'ai fait partie longtemps d'un groupe de paroles, pendant 7 ans environ, j'ai connu pas mal de femmes dans ce groupe. En 2009, l'animatrice a décidé d'arrêter, elle n'avait plus rien à nous enseigner, elle passait à autre chose. A ce moment là, on s'était promis avec le petit groupe en place de se revoir une fois de temps en temps. Le temps passant, je désespérais. Avec quelques échanges de mails, la promesse s'est mise en place. Elle nous a invitées chez elle samedi : un super bon moment toutes les six. Un moment de grande qualité d'écoute, de partage, on a parlé chacune notre tour de nos vies, de nos évolutions, on a ri, on a été ému, puis on a mangé pleins de bonnes petites choses, et bu le jus de pomme et le café. C'était du pur bonheur.

Dimanche, on avait invité trois couples d'amis (ce sont les femmes mes amies d'enfance), j'ai préparé un bon déjeuner avec l'aide de mon homme qui s'est très bien impliqué : une salade ananas-avocat-graines germées-thon-graines de courges-laitue-carotte- puis poulet au cidre-pommes-riz - puis fromage, tarte, et mousse au chocolat - café. et de merveilleux vins dont je rafole, enfin je rafole de la seule gorgée que je bois - Ensuite, nous sommes allés nous ballader dans la campagne. J'ai été gâtée : une jolie boite déco, avec de bons petits trucs à manger dedans - et de jolis petits plats poissons.

IL Y A DE BONS MOMENTS DANS LA VIE - JE VOUS LE DIS !!!!!!!!!!!!!!!!

3 mars 2011

Hier soir

Après deux mois d'arrêt, j'ai repris la gym hier soir. Début d'année, j'étais trop malade, puis il y a eu le décès, puis un soir je n'avais pas la voiture, puis j'ai eu une migraine, puis j'ai eu la gastro, bref de bonnes raisons de ne pas affronter........ Hier soir, je n'avais plus de bonne raison alors j'ai pris ma voiture, je suis partie tôt pour être la première, je n'aime pas arriver alors que certaines attendent et me dévisagent. J'en ai profité pour voir s'il n'y avait pas de papier pour moi dans le placard. La première personne qui est arrivée est venue vers moi gentiment et nous avons échangé quelques mots sur le fait que je n'étais pas venue depuis longtemps. Cette dame, c'est elle qui a préparé la sépulture de ma belle mère. Elle est gentille, elle était institutrice et je l'ai connue à l'école. D'habitude, on ne se parle guère. Là, elle a fait l'effort. La plupart ne m'ont rien dit du tout, on s'ignore. J'avais fait attention à bien respirer en venant, ça m'a aidée. J'ai fait mon cours et tout s'est bien passé. Ouf ce sera moins dur la prochaine fois.

3 mars 2011

suite

Le vendredi soir, j'étais donc seule à l'hotel, mais je n'avais aucune peur. Je profitais de mon lit pour moi toute seule, j'étais calme, contente de ce que j'avais fait. J'ai bien dormi.

 Le lendemain matin, j'étais seule également pour le petit déjeuner. Personne d'autre dans la salle. J'adore les petits déjeuners à l'hotel. Tout est à disposition, tout me fait envie, et je ne me prive pas. J'ai bien pris mon temps. Puis je suis repartie marcher jusqu'à l'Opera que je ne connaissais pas. Il pleuvait et je n'avais pas prévu ça. J'ai fait l'aller à pieds, je suis entrée dans une belle galerie histoire d'être au sec un moment, c'était très joli. Je suis entré dans quelques magasins sans rien acheter. Je ne craque pas comme ça. Et puis là je faisais attention à l'heure qui passait si vite, je devais rentrer pour midi. J'ai repris le métro toute seule pour le retour. Mon beau frère et ma belle soeur sont arrivés à l'hotel. Nous avons discuté. Puis c'est mon mari qui est arrivé. Il nous a vite raconté son voyage en Allemagne, il était très satisfait des contacts qu'il avait eus. Mon beau frère connait bien Paris, il nous a emmené déjeuner dans un restau marocain. Super décor et bon couscous. L'après midi nous visitons Beaubourg, vu le temps qu'il fait, il vaut mieux être au sec. L'art contemporain et moi, ça fait deux. J'avoue qu'une fois ça me suffira, je n'y retournerai pas de si tôt. Le soir, nous dînons chez Chartier. Nous ne connaissions pas. Mon beau frère nous dit que c'est vraiment une curiosité à ne pas louper. Là, c'est à voir, mais je n'y retournerai pas, sauf si on emmenait des amis, c'est curieux mais très bruyant. Mon fils était aussi avec nous.

Le lendemain, dimanche, nous partons pour le salon de l'agriculture, en métro, beaucoup de monde, trop de monde, impossible de bien voir. Nous déjeunons sur le salon. Le soir, mon beau frère et ma belle soeur repartent chez eux. Nous restons encore un peu, et ensuite nous rejoignons la place des Vosges, où nous retrouvons notre fils (qui vient nous retrouver à v'lib). Après avoir fait le tour de la place et de ses vitrines, nous choisissons un restau vite fait, inconnu, c'était pas terrible, j'aimerais bien avoir toutes les bonnes adresses de Paris, si vous en avez donnez les moi pour les prochaines fois. Nous rentrons en passant par chez notre fils. Depuis 2 ans, il vit dans un tout petit appart que nous n'avons jamais vu. J'ai l'impression qu'il n'est pas pressé de nous le montrer. Mais comme j'en ai parlé plusieurs fois, il décide de nous y emmener. 16 m2 : un matelas par terre, un minuscule coin cuisine, du bazar entreposé..... Hum, hum ...... On ne fera pas trop de commentaire. Il paie déjà 600 euros pour ça. Il ne peut pas changer pour l'instant. Quand son prêt étudiant sera fini, il essaiera de trouver mieux. Je ne pense pas qu'il reçoive beaucoup chez lui. Nous retournons à l'hotel à pieds, mon mari n'en peut plus, il a mal au genou.

 Le lundi, nous partons pour Villepinte, le salon des machines, nous sommes plus dans notre élément, mon mari veut voir plusieurs matériels, il fouine, il cherche, nous retrouvons un type auquel on a versé un acompte, le matériel n'était pas conforme, nous n'avons pas voulu l'accepter, depuis il ne veut pas rendre l'acompte, nous y allons aimablement, il nous promet de reprendre le dossier, tiendra t il parole ? Nous connaissons plusieurs constructeurs présents, et poliment nous passons leur dire bonjour. Nous déjeunons aussi sur ce salon. Le soir arrive vite, et nous devons reprendre le RER, il y a beaucoup de monde, on stresse un peu, il nous faut repasser à l'hotel prendre nos valises, puis nous repartons pour Montparnasse. Finalement nous n'avons que 10 minutes d'avance sur l'horaire du train. Puis c'est le retour. Il y a de la fatigue dans l'air. Je reprends la voiture qui nous a bien attendus sagement dans son parking. J'en ai pour 1 h 30 de route, et c'est moi qui conduit, puisque mon mari a eu deux semaines de suspension de permis. A ce jour, il l'a récupéré.

Cet épisode parisien a cassé la routine. C'est passé vite. Mais c'était bénéfique. Et puis, j'adore l'anonymat, c'est fou......

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